Monsieur Freddy KIELBAEY

Domicilié à Anderlecht (1070)
Né à Ixelles (1050) le jeudi 31 juillet 1947
Décédé à Saint-Gilles (1060) le vendredi 31 janvier 2014 à l'âge de 66 ans
Veuf de Madame Jacqueline CUVELIER

Espace « condoléances » 

Cet espace condoléances a été créé le mercredi 5 février 2014.

In memoriam

Cet espace « condoléances » est dédié à la mémoire de Monsieur Freddy KIELBAEY. Chacun peut s’y recueillir, déposer une carte de visite ou un message de condoléances. Utilisez les liens ci-dessous pour consulter les marques de sympathie ou intervenir vous-même. 
N’hésitez pas à renseigner cette page à vos connaissances. Ceux qui sont loin ou qui n’ont pas la possibilité de se joindre à la cérémonie trouveront ici une façon simple de montrer leurs sentiments à la famille dans ce moment difficile. 
Merci d’avance. 

12 messages (7 privés)
 
Condoléances 

Prévenu trop tard pour pouvoir assister à la cérémonie d'adieu, je tiens à ce que vous sachiez que nous prenons part à votre douleur et soyez assuré de mon soutien le plus sincère.

Famille Van Eeckhaute - Becerra

Jean-Michel Van Eeckhaute- 13-05-14

Condoléances 

C'est avec beaucoup d'émotion et une profonde tristesse que nous venons d'apprendre le décès de Freddy. Sachez que nous garderons tous dans notre cœur son souvenir.
Nous vous présentons toutes nos condoléances tardives, mais sincères

Le groupe des Samoreds,
François, Schmoll, Serge, Bruno et Raymond

DANIEL MAIRESSE- 10-05-14

Condoléances 

La direction et le personnel vous adresse leurs sincères condoléances

Le Centre Funéraire de Bruxelles- 05-02-14

Condoléances 

Nous nous associons à votre peine et vous présentons nos sincères condoléances.

Enaos.net- 05-02-14

Témoignage 

Carlo, Marina, Stefano and Cristina Zanon with deep sorrow cry the death of their friend Freddy and his wife Jacqueline.

Dear Freddy, we cannot believe you are no more with us, you¬’ll be always close to us even if you will never be able to cheer us with your liking, your feeling and your wit.
We won’t be able to pass pleasant moments with you, listening to your philosophy of life or speaking about Italian cuisine, or funny stories.
I will never be able to give you my grappa you appreciated so much.
You’ll never cheer us playing guitar or piano, that, as you was used to say, must always be open; in our living-room the piano will stay open, as you, for us, are always living.
Now you’ll be able to look at the stars from the sands of the desert as you dreamt about.

Dear Stephane, your father spoke often about you with pride, we never met you but, please accept our embrace, our thoughts are with you in this sad moment.

Carlo and family.

Carlo Zanon- 05-02-14